L’excision génitale féminine est une pratique destructrice qui continue de sévir dans plusieurs pays d’Afrique et de nombreuses communautés reculées. Ce crime coutumier persiste malgré son interdiction dans de nombreux endroits. Selon le témoignage de nombreuses femmes, rares sont celles qui ressentent encore du « plaisir sexuel » après l’excision.

Alors pourquoi cette pratique continue-t-elle ? Elle perdure principalement à cause des traditions et des croyances archaïques que perpétuent les anciens. Ces coutumes sont maintenues par des mensonges et une pression sociale forte, rendant difficile leur éradication. Les conditions de cette pratique sont souvent insalubres, avec les mêmes « lames » utilisées sur plusieurs femmes, sans aucune hygiène, exposant ces femmes à de graves maladies.

Les hommes, souvent responsables de soumettre leurs filles à cette mutilation dès le bas âge, montrent une irresponsabilité et une cruauté terrifiantes, malgré les lois qui punissent ces actes dans beaucoup de pays. En dépit de ces lois, les pratiques horribles continuent.

La lutte contre l‘excision nécessite une prise de conscience collective et l’émancipation des femmes. Celles-ci doivent être les seules à décider ce qui se passe sur leur propre corps. Les anciens nous ont menti et continuent de nous mentir en soutenant ces crimes barbares , condamnés par tous ceux qui ont un cerveau. Les hommes qui permettent à leurs filles de subir cette pratique sont des irresponsables.

Les campagnes de sensibilisation, l’éducation et l’application stricte des lois sont essentielles pour mettre fin à cette mutilation. Ceux qui comprennent la gravité de ce crime doivent unir leurs forces pour protéger les générations futures et abolir cette coutume inhumaine. Seule une mobilisation collective de toutes les couches de la société pourra éradiquer cette pratique dévastatrice.

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